•                       la malchanceuse

    Blottie dans ton grand manteau

    je ne parviens plus

    a me protéger du froid

    je meurs, blottie contre toi.

    D'amour et d'eau fraîche

    nous nous sommes nourris

    de nous avoir crus si forts

    je meurs, me voilà punie.

    Je suis la malchanceuse

    la va-nu-pieds, la gueuse

    Elle meurt ton amoureuse

    te diront les envieuses.

    Je suis le malchanceuse

    La va-nu-pieds, la gueuse,

    Oui mais je meurs heureuse

    Heureuse et amoureuse.

    Souffle mon amour,

    que ton nuage blanc

    réchauffe mes doigts

    et s'il est encore temps,

    Sauve-moi

    Mourir d'amour et d'eau fraîche

    c'est en vivre

    Tes yeux, ta bouche et ta peau

    j'ai bu de toi, je suis ivre.

    Dédale de mots d'amour

    où nous avons dansé

    Que l'écho de nos voix nous perde

    jamais nous n'avions songé.


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  •                      le chant des sirènes

    Dans les flots de nos larmes

    où nous vivons en peine

    mes soeurs, âmes seules

    nous sommes les sirènes.

    Loin des rivages, des hommes

    l'eau salée nous enchaîne

    entends-tu ma voix qui monte?

    Vers toi qui ne vois

    Que celles qui ont des jambes

    Entends-tu ma voix qui monte?

    Vers toi qui regardes

    A la place d'écouter.

    Ne vois pas mes écailles de poisson

    Si jolies

    Mais qui ne te plaisent pas.

    écoute le chant des sirènes

    écoute le chant des sirènes pour toi

    écoute le chant des sirènes

    c'est ma voix.

    Entends-tu les jambes de ma voix

    Qui courent vers toi

    et se nouent autour de toi?

    Entends-tu les jambes de ma voix

    qui dansent pour toi

    et te gardent au creux de moi?

    Ressens-tu l'étreinte de ma voix

    longue voix vêtue de bas de soie?


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  •                      le chant des sirènes

    Dans les flots de nos larmes

    où nous vivons en peine

    mes soeurs, âmes seules

    nous sommes les sirènes.

    Loin des rivages, des hommes

    l'eau salée nous enchaîne

    entends-tu ma voix qui monte?

    Vers toi qui ne vois

    Que celles qui ont des jambes

    Entends-tu ma voix qui monte?

    Vers toi qui regardes

    A la place d'écouter.

    Ne vois pas mes écailles de poisson

    Si jolies

    Mais qui ne te plaisent pas.

    écoute le chant des sirènes

    écoute le chant des sirènes pour toi

    écoute le chant des sirènes

    c'est ma voix.

    Entends-tu les jambes de ma voix

    Qui courent vers toi

    et se nouent autour de toi?

    Entends-tu les jambes de ma voix

    qui dansent pour toi

    et te gardent au creux de moi?

    Ressens-tu l'étreinte de ma voix

    longue voix vêtue de bas de soie?


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  •                             L'eau et le ciel

    L'eau et le ciel

    je m'y promène

    j'y danse même

    oiseau sirène

    en robe blanche

    je me suie envoyée valser

    et le décor

    valait bien la peine

    de ma peine

    je ne pouvais pas rester

    il me fallait juste m'envoler

     c'est pour toujours

    j'ai des regrets

    si je t'es fait

    souffrir un peu

    c'est fait c'est fait

    je me suis envoyée valser

    et le décor

    valait la peine de ma peine

    je ne pouvais pas rester

    il me fallait juste m'envoler

    Pardonne-moi

    pour cet adieu

    de ta fenêtre

    la nuit tu peux

    me voir un peu

    car ici l'eau est si pure

    l'air est si doux

    la nuit mon âme comme une étoile

    s'illumine et ce décor

    vallait bien la peine

    de ma peine.


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  •                             L'eau et le ciel

    L'eau et le ciel

    je m'y promène

    j'y danse même

    oiseau sirène

    en robe blanche

    je me suie envoyée valser

    et le décor

    valait bien la peine

    de ma peine

    je ne pouvais pas rester

    il me fallait juste m'envoler

     c'est pour toujours

    j'ai des regrets

    si je t'es fait

    souffrir un peu

    c'est fait c'est fait

    je me suis envoyée valser

    et le décor

    valait la peine de ma peine

    je ne pouvais pas rester

    il me fallait juste m'envoler

    Pardonne-moi

    pour cet adieu

    de ta fenêtre

    la nuit tu peux

    me voir un peu

    car ici l'eau est si pure

    l'air est si doux

    la nuit mon âme comme une étoile

    s'illumine et ce décor

    vallait bien la peine

    de ma peine.


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