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Par loetiga le 26 Octobre 2005 à 00:34
Requiem pour une soeur perdue
Quand tu es venue ce matin
Ton sourire ne me plaisait pas
Tu n'aurais pas dû, Amélie
N'acheter qu'un billet d'avion
Aller au Japon sans Robert
Sans ta soeur, sans ma permission
C'est hors de question, Amélie
Tu n'iras nulle part sans moi.
Ah, ah, ah, ah, ah
De toute façon, Amélie
Tu n'iras plus jamais là-bas
Je t'avais bien dit, Amélie
J'interdis les départs sans moi
Tu reposeras bien gentille
Immobile au pied de ta soeur
Je n'aurais pas dû, Amélie
Resserer mes mains sur ton cou
C'est une habitude délétère
D'étrangler ceux que l'on préfère
Ah, ah, ah, ah, ah
Je t'inventerai une chanson
Requiem pour une soeur perdue
Je te fleurirai, Amélie
De jonquilles et de chrysanthèmes
Des camelias noirs, des lilas
Sur la tombe d'Amélie Nothomb
Je suis rassurée, Amélie
Plus jamais tu ne t'en iras.
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Par loetiga le 26 Octobre 2005 à 00:34
Requiem pour une soeur perdue
Quand tu es venue ce matin
Ton sourire ne me plaisait pas
Tu n'aurais pas dû, Amélie
N'acheter qu'un billet d'avion
Aller au Japon sans Robert
Sans ta soeur, sans ma permission
C'est hors de question, Amélie
Tu n'iras nulle part sans moi.
Ah, ah, ah, ah, ah
De toute façon, Amélie
Tu n'iras plus jamais là-bas
Je t'avais bien dit, Amélie
J'interdis les départs sans moi
Tu reposeras bien gentille
Immobile au pied de ta soeur
Je n'aurais pas dû, Amélie
Resserer mes mains sur ton cou
C'est une habitude délétère
D'étrangler ceux que l'on préfère
Ah, ah, ah, ah, ah
Je t'inventerai une chanson
Requiem pour une soeur perdue
Je te fleurirai, Amélie
De jonquilles et de chrysanthèmes
Des camelias noirs, des lilas
Sur la tombe d'Amélie Nothomb
Je suis rassurée, Amélie
Plus jamais tu ne t'en iras.
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Par loetiga le 26 Octobre 2005 à 00:23
CELLE QUI TUE
Je suis l'idole
qui empêche de dormir
Qui prend la vie des hommes
Et des femmes sans un regard
Je suis celle qui inspire l'amour
Meme sans t'aimer
Meme sans t'aimer
Je te donnerai des plaisirs, des plaisirs
Que tu n'as jamais connus,
Des plaisirs si forts
Que tu en mourras, en tueras,
Que tu me donneras
Le sang dont j'ai soif
La peau dont j'ai faim
tu me donneras.
Je suis celle qu'on tue
Pour pouvoir dormir
Je suis celle qui tue
Pour donner la vie
Je suis celle qui inspire l'amour
Et si je t'aime
Et si je t'aime
Je te donnerai des plaisirs, des plaisirs
Dont tu n'as pas idée,
Des plaisirs si grands
Que tu en mourras, en tueras,
Que tu me donneras
La mort dont j'ai soif
L'enfer dont j'ai faim
Tu me donneras
Le sang dont j'ai soif
La peau dont j'ai faim
Tu me donneras
Je suis l'idole
Qui empêche de dormir
Et si je t'aime, et si je t'aime
Je t'aime, je t'aime
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Par loetiga le 26 Octobre 2005 à 00:23
CELLE QUI TUE
Je suis l'idole
qui empêche de dormir
Qui prend la vie des hommes
Et des femmes sans un regard
Je suis celle qui inspire l'amour
Meme sans t'aimer
Meme sans t'aimer
Je te donnerai des plaisirs, des plaisirs
Que tu n'as jamais connus,
Des plaisirs si forts
Que tu en mourras, en tueras,
Que tu me donneras
Le sang dont j'ai soif
La peau dont j'ai faim
tu me donneras.
Je suis celle qu'on tue
Pour pouvoir dormir
Je suis celle qui tue
Pour donner la vie
Je suis celle qui inspire l'amour
Et si je t'aime
Et si je t'aime
Je te donnerai des plaisirs, des plaisirs
Dont tu n'as pas idée,
Des plaisirs si grands
Que tu en mourras, en tueras,
Que tu me donneras
La mort dont j'ai soif
L'enfer dont j'ai faim
Tu me donneras
Le sang dont j'ai soif
La peau dont j'ai faim
Tu me donneras
Je suis l'idole
Qui empêche de dormir
Et si je t'aime, et si je t'aime
Je t'aime, je t'aime
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Par loetiga le 26 Octobre 2005 à 00:13
MAMAN
Petite fille en chaussons roses
Petite fille j'étais ta rose, Maman
Petite fille aux boucles blondes
J'avais appris à faire la ronde, Maman
Moi, je t'aimais
Je t'aimais si fort
Je me battais sans fin
Pour te plaire mais en vain
Maman, je t'aimais
Je t'aimais si fort
La fleur dont tu rêvais
Je te l'apporterai
Toi, toi tu me voulais belle
Comme le bleu de tes yeux
Moi je m'y suis noyée
J'n'ai pas su faire mieux
Alors, j'ai fait comme dans les contes
j'ai joué à la sirène
D'une voix de cristal
Jaillit ma peine.
Petite femme aux lèvres roses
Petite femme de pas grand-chose, Maman
Je suis partie sans but ni cause
Depuis ce jour, ta porte est close, Maman
Moi, je t'aimais
Je t'aimais si fort
De ma voix de cristal
Je t'envoie des pétales
Maman, je t'aimais
Je t'aimais si fort
La fleur dont tu rêvais
je te l'apporterai
Mais viens, redonne-moi la main
Et le bleu de tes yeux
La vie d'une sirène
En est l'enjeu
Toi, toi tu me voulais belle
comme le bleu de tes yeux
Moi je m'y suis noyée
j'n'ai pas su faire mieux.
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