•                                    L'appel  de  la  succube

    (de l'album "celle qui tue")

    Toi

    Au fond de la nuit tu ne dors

    Au fond de la nuit tu t'agites et tu cries

    Au fond de la nuit tu as peur

    Au fond de ton coeur tu sais bien que c'est moi

    Qui t'appelle

    Qui te veux

    Qui te prend

    Qui t'adore

    Qui te hais

    Qui t'en veux

    Qui rouvre ta blessure

    Toi

    Il y a si longtemps ton sang était le mien

    Il y a si longtemps tu m'appartenais

    Pour l'éternité

    Il y a si longtemps tu te donnais à moi

    Il y a si longtemps tu disais m'aimer

    Pour l'éternité

    Toi

    Tu as porté mon deuil un temps

    Puis il a fallu que la vie continue

    Mais au fond de toi tu as peur

    Car tu sais que tu ne m'as pas survécu

    Tu m'appelles

    Tu me veux

    Tu me prends

    Tu m'adores

    Tu me hais

    Tu m'en veux

    Tu rouvres ma blessure

    Toi

    Jusqu'à l'infini ton sang sera le mien

    Jusqu'à l'infini tu m'appartiendras

    Pour l'éternité

    Jusqu'à l'infinie je te boirai la vie

    Jusqu'à l'infinie je te posséderai

    pour l'éternité.


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  •                                                                       LES   JUPES

    Et les regards se croisent

    comme on croise les jambes

    Sensuels ou pudiques

    Sages ou pervers

    Tout dépend de la jupe

    Longs, courts, hésitants

    De la matière de la jupe

    Soyeux, rêches

    Transparentes ou  opaques

    Elles se dégrafent toutes

    Si les jambes se décroisent

    Et s'ouvrent lentement

    Les regards deviennent vagues

    Profonds, chauds

    Transparentes ou opaques

    Elles se dégrafent toutes

    humides, pénétrants

    Peu importe la jupe

    Longue, courte, hésitante

    Soyeuse, rêche

    Transparentes ou opaques

    Elles se dégrafent toutes.

                                                                              


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  •                                                                       LES   JUPES

    Et les regards se croisent

    comme on croise les jambes

    Sensuels ou pudiques

    Sages ou pervers

    Tout dépend de la jupe

    Longs, courts, hésitants

    De la matière de la jupe

    Soyeux, rêches

    Transparentes ou  opaques

    Elles se dégrafent toutes

    Si les jambes se décroisent

    Et s'ouvrent lentement

    Les regards deviennent vagues

    Profonds, chauds

    Transparentes ou opaques

    Elles se dégrafent toutes

    humides, pénétrants

    Peu importe la jupe

    Longue, courte, hésitante

    Soyeuse, rêche

    Transparentes ou opaques

    Elles se dégrafent toutes.

                                                                              


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  •                                 TRISTE  ET SALE

    Des tresse dans mes cheuveux

    Détresse dans mes yeux

    Long est le chemin

    Triste et sale

    Au bord de ce chemin

    Moi princesse de rien

    J'aurai voulu ta main

    Pour danser sans fin

    Il m'a oubliée

    J'étais son bébé

    Qui va me donner

    A manger

    Des fleurs se sont fanées

    Je les ai ramassées

    Dans mes cheveux tressés

    Je les ai glissées.


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  •                                 TRISTE  ET SALE

    Des tresse dans mes cheuveux

    Détresse dans mes yeux

    Long est le chemin

    Triste et sale

    Au bord de ce chemin

    Moi princesse de rien

    J'aurai voulu ta main

    Pour danser sans fin

    Il m'a oubliée

    J'étais son bébé

    Qui va me donner

    A manger

    Des fleurs se sont fanées

    Je les ai ramassées

    Dans mes cheveux tressés

    Je les ai glissées.


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