-
Par loetiga le 27 Juin 2010 à 10:58
ACCABLEMENT
Je plonge dans les ténèbres,
Comme un rideau voilant mes espérances.
J'étreins la mélodie funèbre,
Celle qui prodigue les croyances,
Aux mystères de la nuit éternelle,
Qui manifeste une ambivalence,
Entre brume ou clarté dont s'attelle,
Un paradoxe aux perpétuelles cadences.
Pensées de l'ombre, pensées d'infortune,
Création d'une misère assouvie.
Tristesses incomprises, j'aspire à la lune,
Astre paisible qui m'enchante, m'éblouit.
Loëtiga
4 commentaires -
Par loetiga le 25 Juin 2010 à 11:59
JOUISSANCE
Inlassablement notre passion grandit,
Sous l'ombrage de nos sentiments accomplis,
Où veille le soleil aux rayons de félicité,
Posés sur les amants tendrement enlacés.
Glisse entre mes doigts les gouttes de pluie,
La vie sensitive d'un bonheur cueillit,
Comme une fleur appartenant à la rosée,
L'amour s'intensifie face à l'adversité.
Il n'y a point de saisons pour lier nos vies,
Nos instants partagés atteignent l'aphélie,
De nos immuables baisers échangés,
Je garde le goût de la lasciveté.
Loetiga
Pour la plus belle des âmes, Eric, mon coeur.
2 commentaires -
Par loetiga le 24 Juin 2010 à 13:14
YOU ARE LOVED
Je t'aime bien au-delà des mots,
Je frémis d'amour en lisant les tiens.
Appartenir à ton monde dont je dépose le drapeau,
De câlineries aux rêves édeniens.
Me languir de tes caresses vitales,
Est un divin privilège impétueux,
Car mon affectuosité s'y dévoile,
Pour l'homme si adulé à mes yeux.
Loëtiga
2 commentaires -
Par loetiga le 23 Juin 2010 à 15:07
MON CULTE
Prières amoureuses languissantes de bonheur,
Surviennent d'un ailleurs disposé de croyances,
Au ravissement excédant nos peurs,
pour ainsi pardonner nos dissemblances.
Que naisse la grâce depuis ton regard,
Où mon culte se heurte à l'embrasement,
De l'homme sachant apercevoir,
le lyrisme de mon soulèvement.
Quand l'aube enivre par ta griserie,
Soudain je susurre un tourbillon de frissons.
L'ornement de notre passion accomplie,
Honore le Dieu de notre affection.
Loetiga
2 commentaires -
Par loetiga le 22 Juin 2010 à 15:49
TAEDIUM VITAE
Frôler la froideur de l'ennui,
Qui s'étend vers le chemin ombrageux,
Peuplé d'êtres vénérant les nuits,
Propices à l'imaginaire pernicieux.
Quitte donc cette grisaille,
Cette infamie qui te fait tomber.
Fais au mieux pour gagner la bataille,
Si tes larmes demeurent dans la pérennité.
Délaisse ce chagrin mystérieux,
Pour l'éveille d'un enjouement
Toi , qui par ton esprit oublieux
Façonnes la mélancolie affectueusement.
Loëtiga
4 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique