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Par loetiga le 21 Juin 2010 à 19:32
LE POETE ET LA LUNE
Enrailler mon armure de défaillances,
Composer un soupçon d'harmonie,
Pour que vienne sur le poète un abri
Endeuillé de tous ces silences.
Se vêtir de rêves amarante,
Mais la lune sourit de ma candeur,
A vouloir appartenir à sa grandeur,
Qui flamboie de parcelles désirantes.
Comme toi, je soupire mon insomnie,
Discernant l'ombre qui emprunte mes doutes,
Etre témoin de sa propre déroute,
Avec une larme révélée et asservie.
Loëtiga
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Par loetiga le 20 Juin 2010 à 11:13
Souffle parfumé
Mes larmes se perlent sur ton épaule,
Berceau du réconfort, où mes rêves émanent,
Vers un ailleurs olympien, que frôle
Le bonheur retracé et diaphane.
Rêves écorchés aux griffes surannées,
Tourmentent les gestes lestes auxquels,
Languit pour toi une divine panacée,
Parade des maux, d'ennemis démentiels
Souffle parfumé d'évasions utopiques,
Couvre mes lèvres enjôlées de tendresse,
D'une bise caressante de l'être unique,
Et mes peines inconsolables disparaissent.
Loetiga
A mon tendre amour que j'aime profondément.
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Par loetiga le 19 Juin 2010 à 13:04
L'immensité d'un rêve
Si le jour rayonne par mille feux,
c'est parce que tu es là.
Si la nuit translucide ensorcelle,
C'est parce que tu naît en moi.
Si l'immensité porte notre amour,
C'est parce que nous ne formons qu'un.
Je t'aime
Loetiga pour Enigma 71
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Par loetiga le 18 Juin 2010 à 15:15
CHAGRIN
Ô larme rouge coulante d'élancement,
Se cache en moi une vaine désolation,
à la finalité de mon renoncement
dont sème le vent austère d'adjurations,
pour une impossible et implacable ivresse.
Tremblante de douleur, mon âme se peine
Et que vive en mon esprit ta tendresse,
Jusqu'à ce que cette passion s'abstienne.
Ecoeurant et indécent chagrin,
quitte donc cet antre de supplice,
du déplaisir ainsi je crains,
que mes blessures jamais ne s'adoucissent.
Loëtiga
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Par loetiga le 16 Juin 2010 à 15:49
True Love
Effleurer du bout des doigts ce bonheur infini,
Prier au clair de lune, pour son immensité.
Etreindre ta joie, celle qui m'accomplie,
D'épanouissement où je puis m'abriter.
L'opulence à cette réelle dévotion,
m'inonde d'enthousiasme de somptuosité,
Que puise mon ivresse à la vénération,
De l'homme tendrement aimé.
Loëtiga
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